-Zut! Pas encore! C'est impossible!,un écureuil s'échappat des griffes blanches qui étaient plongées profondement dans la terre.

La queue rousse touffut faisait voler avec fureur des brindilles séches sous les va et vient furieux. Le poil hérissé et les yeux ambrés-dorées ne cessaient de fixer le lieux où avait disparut sa proie. 1 semaine c'etait écoulée et déjà des lacunes brouillaient ses talents de chasseuse.
Elle dut se relever et secouer son pelage pour chasser les débris et les traces de terres et d'un soupir la guerriére se retohrnat pour trouver un coin tranquille.
Feuille Morte l'avait mise en garde sur le manque de rapiditée et d'agilitée pendant quelques temps, elle devait reéduquer sa patte qui avait subi une blessure importante. Les poils roux-crémes se plaquaient sous les coups vif de la langue rose et rapeuse de la jeune femelle ainsi Miel d'Abeille se redonnait un aspect correct aprés une course poursuite désordonnée et trés folle entre un rongeur et un chat.
Les chants des oiseaux firent sourire la lieutenante et une nouvelle vivacitée prit le controle de son âme. Les oreilles droites, les pattes martelant le sol à chacunes de ses foulées la guerriére prit de la vitesse dans sa course.
Elle semblait redevenir cette petite boule de poil innoncente qu'elle était il ya des lunes et des lunes! Les images se bousculaient dans sa tête et baissant sa tête légérement sous un deuxiéme effort, Miel d'Abeille prit encore plus de la vitesse.


Les feuilles des arbustes s'acrochaient à son pelage, les souries prit la fuite. Plus rien ne pouvait stopper notre guerriére! Elle se sentait si rapide! Peut être plus que ces chats du Vent!
Seulement, elle apercut un tronc couché et d'un bond puissant, elle sentit ses pattes s'accrocher aux branches et tombat plus rapidement.
D'un bruit sourd, son corp roulat sur le sol et elle atterit dans de l'eau. Prise de panique Miel d'Abeille poussat un cri paniqué et se débattit. Lorsqu'elle s'apercut que son museau était toujours sec, elle ouvrit les yeux et remarquat qu'elle était tombé dans le ruisseaux.
Se levant, sa fourrure dégoulinante la guerriére ne remarsuat la présence d'un autre félin car elle lui tournait le dos.